Café Upper [Ft. Cleo S. Oswald]

Il y avait beaucoup de monde sur la route, et j'avais préféré marché. Je n'avais pas peur de marché et cela me permettait de pouvoir vérifier sans problème qu'on ne me suivait pas. En tant que chasseur, j'étais souvent en danger, déjà quant en que moldu, je n'étais pas en sécurité... Plus depuis que les sorciers existent. Ou du moins, depuis que je SAIS qu'ils existent. Dire que je me suis marié à une sorcière. Je l'ai tellement aimé. Je m'en veux de ne pas avoir sût la protégé comme il faut. Je n'avais pas été assez prévenant, assez protecteur. Et j'avais pris de la distance. Je m'étais aussi confié à la mauvaise personne. Soupirant, j'entrai déjà dans le café du quartier d'Upper Manhattan. Il y avait beaucoup de monde d'après ce que je pu voir en entrant. Je me faufila jusqu'au comptoir et observa ce qu'ils vendaient. La serveuse arriva vers moi, je souris et lui demanda poliment. Bonjour. Un café serrée s'il vous plait. Elle me demanda sept dollar. Je lui en donna dix pour le pourboire. Je pris le café serrer et la remercia en me retirant du comptoir. La télé montrait des informations. Des moldus avaient été apparemment retrouver mort. Des corps mutilés comme disaient le journaliste. Je continuais à marché, sentant une colère froide montait en moi. Surement des loup garou. C'est foutu loup-garou. Et soudain, je percuta une jeune femme et mon café se déversa sur son tee-shirt. J'ouvris grand la bouche en me rendant compte de ma maladresse. Ooooh fut ce qui sortit en premier. Puis je pris du papier pour le passe sur le tee-shirt, la tâche était au niveau de l'épaule droite. Désolée Mademoiselle. Je ne regardais pas où j'allais...

Je venais de précitée une jeune femme. Elle venait apparemment de quitter sa table. Je n'aurais pas dû me laisser déconcentré par les informations de la télévision. Après tout on assistait souvent à des informations comme ça. Dès qu'il y avait un mort ou un blesser par un sorcier ou tout ce qui sortait un tout petit peu de l'ordinaire. Ils en fessaient la une. Certaines affaires ressortaient pour "vérifier s'il n'y avait pas de magie sous tel meurtre". C'était en effet possible, tout était possible. Mais il ne fallait pa oublié de continuer à croire à une vie meilleur. Personnellement, j'essayais de voir les sorciers comme nous. Sauf les particuliers. Eux étaient plus étranges. Et je m'en méfiais davantage. Surtout ces maudits loup-garou.

Je soupirais voyant le regard de la jeune femme. Elle semblait folle de rage. Et mon café avait beau être chaud il n'était très certainement pas assez brûlant pour la brûler. Même si j'aurai du être plus prévenant et regarder devant moi. Elle me parla de procès etc. Je finis par lui dire, un peu sur le ton de l'amusement. Ce n'est que du café voyons. je repris un ton plus sérieux et poursuivit. Et c'est nettoyable. Au pire des cas vous aurez un souvenir de la rencontre. Il sourit sûrement en vain. En tout cas je devais faire de mon mieux pour la calmer. J'avais bien vu que ça ne marcherait pas si je faisais le "prof autoritaire". Aaron, je m'appelle Aaron.